Comment protéger éventuellement votre commutateur des interdictions d’utilisation de SX OS

La Team Xecuter est, pour le moment, la référence dans la scène de Nintendo Switch. Ils proposent SX OS en tant que «micrologiciel» alternatif à l’original de la société japonaise, avec la capacité de charger des copies de jeux, et SX Pro, pour faire exactement la même chose, mais sans compter sur un PC à chaque redémarrage de la console. Maintenant, en plus, ils ont sorti leur Stealth Mode, un "système de sécurité" qui tente d'empêcher les interdictions de Nintendo par le pirate Nintendo Switch. Un système qui semblait infaillible; celui des interdictions

Comment éviter d'être banni en utilisant sx os?

Nintendo a un système de détection de console de jeu vidéo modifié. Tout d'abord, ils ont commencé à l'utiliser contre les commutateurs piratés, rejetant les utilisateurs de leurs services en ligne. Et plus tard, ils l'ont implémenté sur Nintendo 3DS. Au début, il semblait compliqué d'ignorer ce système de vérification de la société japonaise, mais Team Xecuter a mis à jour son micrologiciel avec la version comprenant ce qu'ils appellent le mode furtif. Avec cette option activée - et elle est activée par défaut -, comme ils le prétendent, Nintendo ne peut pas détecter un Switch piraté.

Que fait le mode furtif?

C’est ainsi que SX OS empêche Nintendo de détecter un commutateur piraté et peut interdire à l’utilisateur les services en ligne.

Le mode furtif est activé par défaut, mais vous pouvez le désactiver si vous le souhaitez. Ce n'est pas conseillé, soulignent-ils, car nous risquerions alors d'être bannis. Lorsqu'il est activé, les informations envoyées par le système sont limitées.

Un commutateur, avec le mode Stealh, n'envoie pas d'informations personnelles aux serveurs de Nintendo même si les fonctions de base d'Internet sont maintenues, par exemple, pour que l'homebrew fonctionne correctement. Et le jeu local en WiFi peut également être utilisé, par exemple, mais les fonctions multijoueur en ligne ne le sont pas.